Cet article est le premier d'une série de portraits d'Alaners travaillant à distance.
Victor fait partie de l'équipe Sales chez Alan. Depuis un an, il travaille à temps plein depuis chez lui, à Villeneuve d'Ascq. Il vous transmet ses meilleurs conseils de télétravailleur professionnel !
Lors de mes débuts chez Alan, je venais deux jours par semaine au bureau à Paris, en faisant l’aller-retour sur la journée (c’était un choix de ma part).
Début 2020, j’ai commencé à réduire le rythme à une fois par semaine, avant que le COVID n’apparaisse et que je ne puisse plus du tout venir dire bonjour à mes chers collègues franciliens.
I miss you team 👋
Ensuite la flexibilité : je travaille aux horaires où je me concentre le mieux. Si j’ai besoin de me libérer pour une urgence, je peux facilement le faire (une visite chez le pédiatre, récupérer un colis, etc.).
L'autonomie et l'indépendance, qui vont de pair avec une très grande motivation et une immense reconnaissance vis-à-vis d’Alan.
Le télétravail, c’est la certitude d’être ultra-efficace. Même si, je le reconnais, il faut un peu de force mentale au départ pour éviter d’aller chercher un verre d’eau, puis un café, puis un fruit, puis… je vous laisse imaginer la suite !
Moins de fortuité dans les rencontres qu’on peut faire au bureau : cela dit, les Donuts (discussion informelle en visio) nous donnent la chance de rencontrer quelqu'un de chez Alan au hasard, chaque semaine. Ça permet de rencontrer des Alaners avec qui je n'aurais pas forcément eu de contact autrement.
Trouver son rythme : il est essentiel de se créer une routine de travail, même lorsqu’on ne se rend pas au bureau. Par exemple, le démarrage de la journée peut passer par une séance de sport ou de méditation (d'ailleurs, Alan rembourse 25 € par an sur votre abonnement !), un café, une playlist de musique. Chacun son truc.
Réussir à maintenir une frontière vie perso/vie pro surtout si, comme moi, vous travaillez depuis chez vous. J’ai la chance d’avoir une pièce dédiée chez moi pour travailler, ce qui signifie que quand je la quitte le soir, je n’y remets plus les pieds avant le lendemain.
Je vous vois venir avec votre question. Non, je n’ai pas onboardé de client Alan en pyjama, si c’est ce que vous voulez savoir 😉